« Cet atelier était notre unique source de revenus. À cause de la guerre, nous avons dû cesser toute activité. Accéder à cette zone industrielle était devenu impossible car des groupes armés avaient pris le contrôle d'Alep Est, […]. Pouvoir retravailler dans mon propre atelier est pour moi bien plus avantageux que d’être employé ailleurs, surtout avec des salaires si bas qu’ils ne couvrent même pas une semaine de dépenses. Être à mon compte me permet d’entrevoir un avenir meilleur. Cela fait sept ans que la paix est revenue […], et sans votre aide, je n'aurais jamais pu réhabiliter cet atelier. Avec la situation économique actuelle, il m’aurait été impossible de le restaurer seul. Je vous remercie pour votre aide. »
Fadi, 41 ans, mécanicien d'Alep