SOS Chrétiens d'Orient CARÊME 2025SOS Chrétiens d'Orient CARÊME 2025

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Le Carême est un chemin d'épreuves, de prières et de pénitence. Pendant quarante jours, nous renonçons au superflu pour purifier nos cœurs et nous préparer à Pâques...

Mais pour des milliers de familles en Orient, le Carême n'est pas une épreuve de résilience temporaire, c'est une réalité quotidienne : des maisons détruites, des vies brisées, des enfants sans avenir...
Pourtant dans la traversée interminable de ce désert, elles espèrent encore. Elles sourient encore, parce qu'abandonner serait la pire des défaites.

Nous ne pouvons pas rester indifférents.
Le Carême nous appelle à agir.

Tout comme Simon de Cyrène aida le Christ à porter sa croix, nous pouvons, à notre tour, alléger la détresse de ces familles éprouvées.
C'est l'engagement de nos équipes, qui partagent le quotidien de ces familles au Proche-Orient, vivant à leurs côtés dans des conditions souvent précaires.

Jour après jour, nos collaborateurs et volontaires réhabilitent des maisons dans les quartiers ravagés par les conflits, distribuent des vivres et des équipements essentiels aux plus vulnérables, accompagnent les déplacés dans la création de micro-activités. Ils apportent une présence tendre et attentive aux personnes âgées, handicapées ou aux orphelins, souvent isolés et oubliés. Autant de gestes, modestes mais précieux, qui redonnent espoir..

Chaque don est une main tendue pour alléger le fardeau des chrétiens d'Orient et leur offrir la promesse d'un avenir meilleur.
 

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Connaître leur histoire,
c'est comprendre l'urgence d'agir.

L'état des lieux

En Égypte, après le décès du mari, les veuves perdent souvent leur statut social. Considérées comme vulnérables, parfois même comme un fardeau, elles se retrouvent marginalisées, surtout si elles n'ont ni enfants, ni soutien familial.
L'isolement devient leur quotidien, renforcé par des traditions qui les relèguent aux marges de la société et les privent d'un rôle actif dans la vie publique. Sans ressources financières, elles ne survivent que grâce à la charité de l'Église.
Pour beaucoup d'entre elles, l'avenir se résume à une lutte silencieuse contre la solitude et la misère.

L'état des lieux

En Syrie, avant 2011, placer ses parents âgés dans une maison de retraite était inconcevable car jugé honteux. Mais des années de guerre ont déchiré les famille et nombre de personnes âgées se sont retrouvées, du jour au lendemain, seules et isolées. Souvent trop âgées ou blessées, elles ont assisté, impuissantes, à l'exil précipité de leurs enfants et petits-enfants. Par choix ou par nécessité, certaines ont alors vendu leur maison et sont maintenant dans des maisons de retraite, rassurées par la présence du personnel compétent. Mais la majorité vit toujours dans des taudis, sans moyen de s'offrir des soins de santé de première nécessité et de s'alimenter normalement.

L'état des lieux

L'accès aux soins de santé est devenu un luxe pour de nombreux Libanais. Faute de pouvoir consulter un médecin, les diagnostics précoces et les traitements de base sont souvent négligés, mettant en danger la santé de milliers de personnes, en particulier les plus vulnérables : personnes âgées, enfants et malades chroniques. Sans suivi médical, les pathologies s'aggravent, entraînant des complications parfois irréversibles.
À cette crise sanitaire s'ajoute une autre urgence : l'explosion des prix des médicaments. Pour de nombreuses familles, ces dépenses sont devenues la variable d'ajustement d'un budget déjà exsangue. Alors que leur pouvoir d'achat s'effondre, le coût des traitements, lui, ne cesse d'augmenter.
Dans les régions reculées, où les infrastructures médicales sont rares et l'aide quasi inexistante, cette crise est encore plus dramatique.

Son histoire de vie

« La douleur m'accompagne chaque jour ! Depuis la mort de mon mari, ma vie s'est arrêtée. Je porte le noir, comme toutes les femmes en deuil ici, et je reste enfermée, craignant les regards et les jugements. Mon mari me manque. Je l'aidais dans son travail, même si je ne sais ni lire ni écrire. Maintenant, je ne suis plus qu'un fardeau, surtout aux yeux de mon beau-père. Mon beau-père hurle ces mots cinglants qui déchirent mon cœur : « Pourquoi tu souris ? Mon fils est mort et toi tu es encore en vie. Pourquoi tu n'es pas morte à sa place ? Tu ne mérites pas de vivre. »
Je le connais, sa colère est son chagrin. Alors, je reste là, debout, le cœur en lambeaux, mais la tête haute. Que peut-il me prendre de plus ? J'ai tout perdu...»

Leur histoire de vie

Après treize années de guerre, Nour et Rita, deux sœurs syriennes, vivent dans une maison en ruine : des murs éventrés par les combats et un toit de fortune, dernier vestige d'un étage disparu. Leur quotidien se résume à deux pièces sommaires, un lit partagé et une cour poussiéreuse. Nour, l'une des deux sœurs, a longtemps combattu un cancer du sein. En plus des conditions de vie sommaires, elles ne peuvent s'alimenter normalement ni se soigner faute de moyens.
Les deux sœurs, marquées par l'adversité mais pleines de foi, remettent leur lendemain entre les mains de la Providence.

Son histoire de vie

Il se tient devant nous, usé par la maladie et le désespoir. D'une voix brisée, il confie que sa femme et lui n'ont plus rien, que la menace d'expulsion plane sur leur foyer, faute de moyens. La douleur physique le cloue, l'empêchant de sortir sa famille de la misère.
Son regard se pose sur sa fille, une enfant d'une douzaine d'années, dont le sourire éclaire l'obscurité de sa vie. Il avoue que, malgré les pensées noires qui l'assaillent, c'est elle qui le retient à la vie. « Elle est ma seule raison de vivre », murmure-t-il. Pourtant, l'angoisse du lendemain et la déchéance de son pays le rongent, le poussant chaque jour plus près du gouffre.

*Les témoignages sont authentiques, seuls les prénoms ont été modifiés.

À chaque âge, une vie à soutenir.
Soulagez leur fardeau.

Focus sur les orphelins égyptiens

En Égypte, la loi interdit d'adopter. Alors, les enfants qui perdent leurs parents, ou encore les enfants qui sont rejetés par leur famille, sont accueillis dans des orphelinats, tenus par des communautés religieuses, sans espoir de jamais en sortir. Là, ils apprennent à vivre en communauté et à grandir malgré l'épreuve de la séparation familiale.

L'adaptation à cette nouvelle vie peut être très brutale pour certains, d'autant plus que les histoires familiales sont souvent très dures. Pourtant, les religieux font du mieux qu'ils peuvent pour leur apporter le réconfort nécessaire.

Au cœur du Proche-Orient, berceau du christianisme, les communautés religieuses jouent un rôle fondamental dans la préservation de la foi, du patrimoine et du lien social. Dans un contexte marqué par l'instabilité, la persécution et l'exode des fidèles, ces communautés restent des piliers de résistance spirituelle et culturelle, tout en affrontant les difficultés économiques et les crises politiques, la marginalisation progressive du christianisme, l'effondrement des vocations, les discriminations et l'insécurité. Si les communautés chrétiennes venaient à disparaître du Proche-Orient, c'est une partie de l'histoire du christianisme qui s'éteindrait avec elles. Mais tant que ces moines, moniales et religieux continueront d'œuvrer au service de leur peuple, l'âme chrétienne du Proche-Orient survivra.

En Orient, le handicap est parfois perçu comme une punition divine ou une malédiction, ce qui engendre une stigmatisation sociale pesante. Par honte ou manque de moyens, certaines familles recourent à des mesures extrêmes : isolement, séquestration, intimidation, maltraitances.

L'absence d'infrastructures adaptées aggrave encore la situation. Faute d'accès à une éducation spécialisée ou à des formations professionnelles, ces personnes handicapées se retrouvent dans une oisiveté forcée, empêchées de s'épanouir et de développer leur potentiel. Pourtant, au-delà de ces obstacles, des initiatives émergent, souvent portées par des communautés religieuses engagées.

Les conflits, notamment en Artsakh, ont laissé derrière eux des familles endeuillées et privées de soutien, tandis que l'émigration massive, poussée par la crise économique, a contraint de nombreux hommes à quitter le pays définitivement, abandonnant leur famille à leur sort. Désormais seules à gérer le foyer, ces femmes font face à des défis socio-économiques considérables et peinent à subvenir aux besoins de leurs enfants et parfois de leurs parents. Toutefois, des initiatives locales et internationales tentent de leur offrir des opportunités professionnelles et un accompagnement pour renforcer leur autonomie et leur permettre d'assurer un avenir plus stable à leurs enfants.

Agir grâce à votre don

Cours de soutien scolaire, donation de colis scolaires, activités ludiques et sportives, sorties organisées... Parce qu'aucun enfant ne devrait grandir seul, permettez-nous d'être à leurs côtés.

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Réhabilitation de monastères, participation aux activités agricoles, donation d'équipements spécialisés, sauvegarde des lieux de culte... Préservez l'âme chrétienne du Proche-Orient. Soutenez les religieux d'Orient.

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Construction d'ateliers adaptés, visites, activités... Offrez à une personne handicapée la chance d'apprendre et de s'épanouir.

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Donation de colis alimentaires, de machines à coudre, de cheptel d'animaux... Soutenez ces mères qui portent l'avenir de leur famille.

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Au cœur des épreuves,
ils témoignent de la force et de l'espérance de ceux qu'ils aident.

SYRIE

« À Alep, j'ai rencontré de nombreux Syriens, désemparés, mais persévérants malgré les épreuves. Ils ont tous perdu des proches dans les tumultes de la guerre qui a ébranlé le pays. Ils ont tant souffert que leur visage est à jamais marqué. Au milieu de la tempête, les Syriens se relèvent petit à petit et gardent espoir. Je veux les aider à tout prix, donner tout de moi-même pour que ne serait-ce qu'un Syrien puisse vivre convenablement dans ce beau pays. » Ivan

LIBAN

« J'ai tout de suite été frappée par la pauvreté ambiante et l'urgente nécessité d'aider ce pays à s'en sortir. La situation dramatique dans laquelle vivent beaucoup de Libanais m'a marqué à vie. Beaucoup d'entre eux ont dû vendre leurs biens les plus précieux pour pouvoir manger et survivre quelques mois ou quelques jours seulement. Beaucoup de couples ont même vendu leurs alliances. C'était leur dernier recours. » Katell

IRAK

« À Teleskuf, Erbil, ou Alqosh, j'ai vu des regards qui me parlent plus que les mots. Des femmes, des hommes, des enfants qui portent tous les stigmates d'une douleur profonde, mais aussi la lumière d'une espérance inébranlable. Chaque rencontre, chaque échange est une leçon d'humilité. J'ai compris que la vraie richesse ne réside pas dans ce que l'on possède, mais dans ce que l'on donne, même quand on n'a presque plus rien. » Jeanne

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Au service des chrétiens,
avec la bénédiction de l’Église.

« Les équipes de SOS Chrétiens d'Orient ont quitté famille, maison et patrie pour venir vivre en Syrie, avec les familles syriennes, au cœur de la guerre. Malgré les violences, ils sont restés, déterminés à poursuivre leur mission voulue par Dieu. S’ils sont là, c’est à des fins humanitaires et spirituelles... Nous leur en sommes reconnaissants et les remercions du fond du cœur, au nom de tout le peuple syrien. Nous leurs souhaitons du courage et les gardons dans nos prières. » Sa Sainteté Ignace Ephrem II, patriarche syriaque orthodoxe d'Antioche et de tout l'Orient.

« Je remercie SOS Chrétiens d'Orient pour leur proximité avec les pauvres, les jeunes et les enfants. Les volontaires vivent au plus proche d'eux et sèment la joie dans leur cœur. Ils n'apportent pas seulement une aide matérielle mais aussi morale et humaine. En partageant la souffrance, ils grandissent mutuellement dans la foi et en humanité. Ces jeunes sont de vrais missionnaires pour l'Irak et pour la France. Bravo pour ce que vous faites ! » Monseigneur Najeeb, archevêque chaldéen de Mossoul et d'Aqra en Irak.

« Votre mission consiste à aider les chrétiens d'Orient, à reconstruire non seulement les églises, mais aussi les hommes. En tant que témoin, je peux témoigner de la force et de l'engagement que vous mettez dans votre travail. Je dois avouer que parfois, en vous voyant, jeunes hommes et femmes de 19, 20, 21 ans, travailler dur pour transporter des pierres et du sable, utiliser des marteaux-piqueurs, je ressens une certaine culpabilité. Mais en même temps, je vous vois toujours forts et déterminés, et je vous admire pour votre courage. » Père Abdallah, prêtre maronite du monastère d'Abbey au Liban.

Grâce à votre don en ligne,réduisez votre impôt !

Votre don à l’association SOS Chrétiens d’Orient est déductible à 66% de votre impôt sur le revenu, dans la limite de 20% du revenu imposable.

Avec

10€

3,40€
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vous offrez un paquet de couches de 3 kg à un nouveau-né syrien.

Avec

40€

13,60€
après réduction fiscale

vous offrez trois boîtes de médicaments aux Libanais privés d'accès aux soins de base.

Avec

75€

25,50€
après réduction fiscale

vous participez à la construction d'un atelier de recyclage des déchets dans le village copte orthodoxe de Deir Rifa.

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